Vous trouverez ci dessous en format pdf, le communiqué de presse que l’association Avec adresse à la presse concernant son avis défavorable à l’aménagement de la zone des Hauts Banquets à Cavaillon.
A ce jour le 01/aout 2019, notre CP n’a pas été publié
RÉSERVEZ DES A PRÉSENT VOTRE SOIRÉE DU 7 AVRIL POUR VENIR PARTAGER UN MOMENT AU PROCHAIN CINE-DEBAT A CAVAILLON.
LES INTERVENANTS DU DÉBAT SERONT LA POUR RÉPONDRE A VOS INTERROGATIONS.
Symbole aux yeux des urbains d’une nature authentique, la forêt française vit une phase d’industrialisation sans précédent. Mécanisation lourde, monocultures, engrais et pesticides, la gestion forestière suit à vitesse accélérée le modèle agricole intensif. Du Limousin aux Landes, du Morvan aux Vosges, Le Temps des forêts propose un voyage au cœur de la sylviculture industrielle et de ses alternatives. Forêt vivante ou désert boisé, les choix d’aujourd’hui dessineront le paysage de demain.
Ivan SCOTTI :Directeur de Recherches à l’INRA, au sein de l’Unité de Recherche en Écologie des Forêts Méditerranéennes, Avignon
Spécialiste en génétique des populations des arbres forestiers, son cœur d’activité est l’étude des mécanismes biologiques de l’adaptation des forêts à l’hétérogénéité des milieux et au changement climatique.
Sabine LE FALHER : Travaille au Syndicat Mixte de Défense et de Valorisation Forestière du Vaucluse.
Elle est chargée d’une mission d’information et de suivi du débroussaillement dans le cadre de la lutte contre les incendies.
Elle a travaillé auparavant, et pendant 15 ans, toujours dans le même cadre, auprès du public scolaire. Elle a écrit un livre Forêts de Vaucluse en direction d’un large public.
Sébastien BATAILLE :Représentant du SNUPFEN Solidaires – syndicat des personnels de l’ONF.
Nous terminerons pas le pot de l’amitié pour poursuivre les échanges
24 MARS 18H20 ciné débat à Cavaillon au cinéma la cigale. « Jeune Bergère », en présence de la REALISATRICE.
Une jeune femme change sa vie citadine pour le métier de bergère. En choisissant l’élevage dans les prés salés, elle revient aux fondamentaux –un mouton, ça mange de l’herbe dans laquelle il trouve toutes les vitamines et les minéraux dont il a besoin. Inutile de le nourrir avec des céréales. Sa pratique lui permet aussi de donner des quantités moindres de médicaments ou de vermifuges. Elle a vraiment trouvé sa vocation et l’énergie qui l’anime lui permet de franchir tous les obstacles. Une liberté à l’unisson de ce mode d’élevage où les moutons paissent dans les prés salés, des prés sans enclos dans lesquels tous les troupeaux se trouvent mélangés.
Et comme d’habitude nous terminerons par le pot de l’amitié
Vous avez envie de randonner dans notre belle région accompagné par des guides de randonnées, alors notre prochain rendez vous est fixé au 17 mars,voir programme.
Et surtout si vous connaissez des personnes qui souhaitent également marcher, alors n’hésitez pas à partager cette information.
rendez vous le 3 février pour parler agriculture avec la projection du film « Le temps des grâces » qui sera suivi comme à l’accoutumée d’un débat et d’un apéritif.
Au plaisir de vous y retrouver
Venez nombreux, Avec soutien Foll’avoine l’association qui organise la Faites sans OGM voici le programme en téléchargement
Vous trouverez ci dessous le dernier compte rendu de la réunion de la CLE, bonne lecture
Contrat de rivière :
Il a été fait le bilan des actions menées pas le Syndicat de rivière de 2015 à 2018 et de celles envisagées jusqu’au terme du contrat (repoussé de 2020 à 2021 pour être cohérent avec le SAGE et le Plan d’Aménagement et de Prévention Inondation [PAPI].
Les actions qui vont se poursuivre concernent
L’amélioration de la qualité de l’eau [lutte contre la pollution, création ou amélioration des stations d’épuration] pour 9,2 M d’euro.
La gestion du risque inondation [avec réalisation des tranches 4,5 et 6] pour 7,7 M d’euro.
La préservation de la ressource [sécurisation des réseaux d’eau potable, économie d’eau] pour 3,2 M d’euro.
La préservation des milieux pour 2,1 M d’euro.
La communication et la gouvernance pour 1 M d’euro.
Il faut encore que l’Agence de l’eau, le Département, la Région valident leurs financements, dans un contexte de restriction budgétaire. Et si ce n’est pas le cas, les communes et les communautés de communes devront, si elles le peuvent, combler les vides. Sinon, il faudra revoir les ambitions à la baisse.
Le projet présenté a été approuvé par les membres présents de la CLE
Révision du SAGE
À l’expérience, il fallait revoir certaines règles. Le but était de plus fermement protéger les zones d’expansion de crues et, hors de ces zones, de faire preuve de plus de souplesse pour ne pas empêcher des aménagements d’intérêt général.
Il fallait aussi préciser les contrôles règlementaires concernant les rejets de station d’épuration.
Les modifications règlementaires présentées ont été approuvées par les membres présents de la CLE mais devront encore être revues par des juristes ;
La CLE sera à nouveau réunie en mars 19 pour approuver le texte final et l’approbation définitive du SAGE révisé devrait se faire fin 2019.