Une génération se lève pour réparer le monde. En Asie, en Afrique, en Amérique, des adolescents et jeunes adultes luttent pour les droits humains, le climat, la liberté d’expression, la justice sociale, l’accès à l’éducation ou l’alimentation, la dignité. Un documentaire qui donne de l’espoir.
Les intervenants invités seront des jeunes de Cavaillon et des environs eux aussi engagés.
La Marche pour le Climat, le Vivant et la justice sociale a réuni de nombreuses associations déterminées à mettre au premier plan la question du climat. C’était une première à Cavaillon et ce n’est qu’un début ! Nous continuerons à nous mobiliser afin que des actions soient menées pour répondre à l’urgence climatique et environnementale.
Merci à tous ceux qui ont été présents lors de cette marche ! Soyons unis et toujours plus nombreux pour que ces questions cruciales soient enfin considérées à leur juste mesure, pour l’avenir de l’humanité et du Vivant sur Terre.
Article du Dauphiné paru le dimanche 13 mars.Le deuxième rapport du GIEC est sans appel : c’est maintenant qu’il faut agir. Mais les décideurs et les grands médias regardent ailleurs…
Le premier ciné-débat de l’année, organisé par notre association, a été une réussite. Il s’est tenu le dimanche 30 janvier au cinéma la Cigale autour du film Mise au vert de Yohann Charrin.
Le public était nombreux (70 personnes) pour assister à cette comédie familiale et sociale, l’histoire d’un père de famille complètement dépassé, qui n’arrive plus à gérer ses ados accros à leurs écrans ni sa femme qui le trompe et qui décide subitement de leur imposer des vacances surprises et insolites dans le Vercors dans une vieille maison isolée, sans eau, sans électricité et sans écran. Une détox qu’il imagine salvatrice. Le rire était donc au rendez-vous et un apéritif partagé a permis de prolonger ce moment de détente.
Mais cela n’a pas empêché la réflexion puisque cette fiction confronte aussi des manières différentes de se représenter ce que veut dire habiter à la campagne : schématiquement, celle des parisiens, celle des habitants du Vercors et celle des « zadistes écologistes » occupant la vielle maison isolée. Le débat qui a suivi le film a été riche, éclairé par les explications du réalisateur. Originaire d’Avignon, Yohann Charrin signe là son premier long métrage et nous en a expliqué la genèse. Riches aussi ont été les éclairages apportés par Béatrice Mésini, géographe, qui a mené des études approfondies sur les néoruraux et les luttes écologiques et par Pierre Follet de Sauvons nos terres 84 qui n’a pas manqué de rappeler les enjeux locaux liés à l’accaparement des terres agricoles dans notre département et en particulier à Cavaillon.
Pour notre premier ciné-débat de l’année 2022, nous aurons le plaisir de nous retrouver autour du film Mise au vert le dimanche 30 janvier à 18h00 au cinéma la Cigale à Cavaillon.
Deux invités se joindront à nous : le réalisateur Yohann Charrin et de la géographe Béatrice Mésini, chargée de recherche au CNRS.
Mise au vert est une comédie familiale et sociale. L’histoire d’un père de famille complètement dépassé, qui n’arrive plus à gérer ses ados accros à leurs écrans ni sa femme qui le trompe et qui décide subitement de leur imposer des vacances surprises et insolites dans le Vercors dans une vieille maison isolée, sans eau, sans électricité et sans écran. Une détox qu’il imagine salvatrice
Cette fiction pleine d’humour confronte aussi des manières différentes de se représenter ce que veut dire habiter à la campagne. C’est ce dont nous débattrons ensuite après le film et avant de partager un apéritif convivial.
Ce documentaire part d’un postulat, celui du « paradoxe de la faim » : dans le monde, ceux qui produisent sont également ceux qui ont faim. Il tente d’apporter des solutions, en partant à la rencontre d’acteurs de terrain. Il s’agit d’une nouvelle génération de paysans, qui se reconnaît autour du principe de résilience.
Dans l’optique de s’émanciper de l’agriculture industrielle au profit d’une agriculture durable, une des pistes avancées est celle de la multiplication des petites initiatives : petites fermes belges, jardins collectifs au Burkina Faso …
Le festival Alimenterre, créé en 2007 à Paris, est devenu un évènement international sur l’alimentation durable et solidaire organisé chaque année du 15 octobre au 30 novembre. Autour d’une sélection de 8 films documentaires, il amène les citoyens à s’informer et comprendre les enjeux agricoles et alimentaires en France et dans le monde, afin qu’ils participent à la co-construction de systèmes alimentaires durables et solidaires et au droit à l’alimentation.
Dimanche 3 octobre, une soixantaine de personnes ont assisté au ciné-débat organisé par AVEC.
Le documentaire était très prenant et racontait la vie de Hatidze qui a consacré sa vie à prendre soin de sa mère paralysée et aveugle. Pour vivre, elle élève des abeilles selon de sages traditions respectueuses de l’abeille, héritées de ses parents. De quoi réfléchir une fois de plus aux relations que nous entretenons avec la nature.
Le débat qui a suivi a été très riche, Cyril Vidau, chercheur, apportant ses connaissances sur les avancées de la recherche, et Lucile Bruneau son expérience de 40 années d’apiculture.
Ce ciné-débat a été organisé dans le cadre de Vivant, L’alimentation en Durance-Luberon, un élan collectif porté, chaque année, par plus de 50 structures de Durance-Luberon, à la lumière des richesses paysannes, alimentaires, intellectuelles, municipales, citoyennes ou artistiques de notre petit pays.
Réservez dés aujourd’hui votre soirée pour venir partager avec nous un moment de convivialité et d’échanges.
Notre prochain ciné débat se déroulera le 08 mars à 18h15 au cinéma La cigale à Cavaillon.
Nous aborderons le thème de « l’eau bien commun » et l’illustrerons avec le film de Icíar Bollaín avec Gael García Bernal, Luis Tosar, Carlos Aduviri
Sebastian, jeune réalisateur passionné et son producteur arrivent dans le décor somptueux des montagnes boliviennes pour entamer le tournage d’un film. Les budgets de production sont serrés et Costa, le producteur, se félicite de pouvoir employer des comédiens et des figurants locaux à moindre coût. Mais bientôt le tournage est interrompu par la révolte menée par l’un des principaux figurants contre le pouvoir en place qui souhaite privatiser l’accès à l’eau courante. Costa et Sebastian se trouvent malgré eux emportés dans cette lutte pour la survie d’un peuple démuni. Ils devront choisir entre soutenir la cause de la population et la poursuite de leur propre entreprise sur laquelle ils ont tout misé. Ce combat pour la justice va bouleverser leur existence.
Nos invités le Collectif de l’eau d’Avignon, C. Proust, chargé de mission eaux et rivières au Parc du Luberon et P. Dumoulin, chargé d’étude Ressource en eau au SMAV. Durance, répondront à vos questions
Nous terminerons la soirée après le débat avec notre traditionnel petit buffet
Réserver votre soirée du dimanche 26 janvier pour venir participer et débattre avec nous à notre prochain ciné-débat qui traitera des villes en transition et comment opérer la transition.
Un film de Marie Monique Robin plein d’optimisme que les critiques ont toutes aimé, illustrera la thématique.
La municipalité d’Ungersheim a lancé en 2009 un programme de démocratie participative, baptisé « 21 actions pour le 21ème siècle » qui englobe tous les aspects de la vie quotidienne : l’alimentation, l’énergie, les transports, l’habitat, l’argent, le travail et l’école. « L’autonomie » est le maître mot du programme qui vise à relocaliser la production alimentaire, à promouvoir la sobriété énergétique et le développement des énergies renouvelables, et à soutenir l’économie locale grâce à une monnaie complémentaire (le Radis). Depuis 2005, la commune a économisé 120 000 euros en frais de fonctionnement et réduit ses émissions directes de gaz à effet de serre de 600 tonnes par an. Elle a créé une centaine d’emplois. Et elle n’a pas augmenté ses impôts locaux. Alors, qu’est-ce qu’on attend ?
Et comme à l’accoutumée, un apéritif permettra de poursuivre les échanges
Nous remercions vivement nos partenaires toujours sans faille Le Magasin Bio le Sarment et la Bioccop de Cavaillon
Réservez dés à présent votre soirée du dimanche 1er décembre pour notre ciné-débat au cinéma La Cigale à Cavaillon.
Il y sera question d’agriculture locale et des pertes des terres cultivées.
Notre soirée sera axée sur la perte des terres et leur artificialisation. L’association vous présentera succinctement le projet de la Zac des Hauts Banquets à Cavaillon, puis, notre invité Alain Goléa, de France Nature Environnement Bouches du Rhône, nous présentera le répertoire des terres agricoles menacées dans ce département. Nous souhaitons mobiliser le plus d’acteurs associatifs et citoyens autour de cette thématique et proposer, nous aussi en Vaucluse, de concevoir un répertoire des terres menacées qu’elles soient agricoles, d’espaces naturels ou forestiers. Un collectif s’est crée sur le Vaucluse « Sauvons nos terres 84 », il rassemble plusieurs associations et citoyen.
Une représentante de l’association Foll’Avoine sera également notre invitée pour témoigner et faire part de ses actions.
Pour en savoir davantage sur ce projet de répertoire vous pouvez suive le lien ci dessous de la FNE 13, et venir nous rejoindre pour vous informer.
Et bien sur pour clôturer la soirée un apéritif vous sera offert grâce au soutien de la Biocoop de Cavaillon et du Magasin bio Le Sarment que nous remercions chaleureusement.